Rencontre [Libre]

Invité

De bon matin, lorsque les oiseaux chantonnaient leur mélodie harmonieuse, le soleil commençait à montrer le bout de son nez aux couleurs orangées. C'était une couleur agréable, paisible et vivante. Le vent battait les arbres dans la ville où se trouvait un grand bâtiment, aux fenêtres encore couvertes de rideaux car les gens normaux dormaient encore. Le bâtiment résonnait de vide totale, il n'y avait personne qui avait eut le courage d'ouvrir, sauf...une jeune femme pelotée dans un nid de couvertures, dans une pièce sombre à cause des rideaux fermés qui allait bientôt être baignée de la lumière du matin. Un mince filé de lumière sortait de l’entre ouverture du rideau, laissant apparaître le doux visage somnolant de Sayu.

Dans un coin de la pièce, plus exactement là où se trouver une demoiselle encore enfouit dans ses couvertures, rêvant de choses et d'autres, pensant au futur peut être meilleur peut être pire. Le petit tas de toile de lins proche qui humait bon le parfum de la vanille remua. Ce qui était enfouit là-dessous émit son un qui, de doux murmure qu'il était au début, devint aussi claironnant que le cris d'un coq réveillant tous le village de son cris cinglant.
Une fois s'être étiré, avoir baillé pendant de longues minutes sans s'arrêter, c'est à se demander si elle avait encore du souffle, Sayu se leva péniblement de son nid douillé encore flou du regard matinal.

La jeune femme marchait en direction de l'endroit où elle passait une bonne partie de son temps qui lui était réservé, sa salle de bain. Elle avait une démarche d'ivrogne venant de boire toute les réserve l'alcool d'un bar, chancelant, manquant de très près de se faire assommer par une lampe. Pourquoi cette lampe se trouvait-elle là ? Rah ! La japonaise sentait une bosse naître sur la partie où la lampe l'avait cogné. Déjà de bon matin elle se faisait mal, c'était mauvais signe.

Qu'allait-elle porter aujourd'hui ? Un autre de ses nombreux kimonos aux couleurs flamboyantes sous le soleil orangé du matin ? Un ensemble jupe et jolie haut ? Ah ! Que de choix ! Sayu décida de ne pas changer ses habitudes. Après tout c'était sa tenue préférée et elle ne devrait pas avoir honte de la porter.

La jeune femme choisit après une minute de réflexion un ravissant kimono de couleur indigo avec un obi [ceinture] violet. Ses pieds étaient recouvert par des chaussettes blanche comme de la neige fraîche et étaient chaussés de chaussures brunes en cuire fermées.

Après s'être vêtue de ses beaux atouts, Sayu sortit de sa chambre, un sac en bandouillère pour se balader dans l'établissement. La japonaise avait pour idée de s'asseoir sur le toit pour rester au calme. Elle se mise en route en direction du toit en quête de calme et de tranquillité.
Une fois arrivée à destination, la jeune femme s'assise contre un mur et posa son sac à coté d'elle. D'un geste rapide, Sayu déplaça une mèche qui pendouillait devant son visage en la plaçant derrière son oreille puis en la coinçant dans sa coiffure. De sa main droite, la japonaise sortit un petit livre puis l'ouvrit religieusement. Sayu qui avait déjà commencé le livre trouvait celui-ci très passionnant, elle se plongea dans sa lecture.

°...Bon...Ici je pourrais lire tranquillement...°

Le seul bruit que l'on pouvait entendre était le bruit des oiseaux en train de gazouiller ainsi que le bruit des pages que la jeune japonaise tournait au fur et à mesure que sa lecture avançait.

Invité

Tsukiya était tout simplement seul comme dans ses habitudes, c’est son train train quotidien, de se promener seul, dans des heures aussi tardive, où peut de gens se promener et était présent. C’était d’ailleurs pour cette raison que pour lui, c’était des heures superbes et les meilleures dans une journée.
Il marchait paisiblement, ne montrant aucune trace d’énervement ou de contrariété il était calme et tout simplement posé. Il ne pensait à rien, le paysage était tout simplement trop beau, pour que ses soucis puissent rompent ce moment si plaisant et si rare qui se déroulait devant ses yeux.
Tsukiya avait comme toujours, son appareil autour de son cou, le tenant bien fermement dans ses mains et près de son coffre, ne voulant en aucun cas, rater une telle occasion de prendre le paysage, éclairé de la ville dans cette nuit étoilée. Il régla son appareil photo, puis un flash puis plusieurs prirent dans différents angles la ville dans toute sa splendeur.
Quand il fit pivoter ses pieds vers la gauche, son appareil avait dans son cadre de verre, une jeune fille, qui semblait en pleine lecture, elle se demandait si elle y voyait bien, en lisant son livre. Il se mit à sourire, il ne la connaissait pas, mais il ne pu s‘empêcher d’être légèrement surprit, de voir que c’était possible que quelqu’un, tout comme lui apprécié ces moments de solitude que transmettait ces nuits étoilés de la ville.
Il décida donc se s’approchait de la personne qui était assise près du toit, et il monta quelques tuiles, sachant que ses pas ne passerait pas inaperçu, sachant que sous la semelle le bruit du contact avec les tuiles se faisait entendre.

Il s’assit, de l’autre côté, étant de dos à la jeune fille, tout en gardant un sourire aux lèvres, observant le ciel étoilé, appréciant le chant des oiseaux, qui entrait dans ses oreilles.

C’est agréable … j’espère ne pas vous dérangez … dans votre moment de solitude … je suis sur que vous en vous n’attendiez pas à voir quelqu’un …

Il rigola tout doucement, d’une ton grave mais à la fois donc, on pouvait voir dans le son de sa voix, qu’il était assez timide, mais qu’il n’était pas un mauvais garçon, et qu’il était tout aussi surprit qu’elle, de voir quelqu’un à cette heure de la nuit.
Tsukiya espérait, qu’il ne la dérangerait pas, et il n’arrivait toujours pas à croire, qu’elle était là, et qu’il n’était pas le seul à se balader pendant la nuit.

Invité

Sayu bailla a nouveau. Ah ! Que la nuit était longue ! Elle n'arriverait pas à dormir à cette heure. Vu qu'elle adorait lire, Sayu sortait souvent pour lire sous une nuit étoilée, c'était agréable et en même temps reposant. Son kimono lui servait comme une sorte de couverture pour ne pas sentir l'air fraît du soir sur sa peau douce.

Son livre était très intérressant. Il parlait de l'histoire d'un samouraï essayant de conquérir le coeur d'une jeune paysanne qui ne lui adresse aucun regard de ses beau yeux bleus marins. Cette couleur était très rare chez les japonais, rares sont ceux qui ont eut la chance d'avoir des pupilles couleurs pluie. Lorsqu'elle lisait ce livre, Sayu se sentait emportée dans ce royaume de samouraïs et de fleurs de cerisiers.

Ses longs doigts parcourants les feuilles s'arrêtèrent un moment. Un petit bruit de semelle se fit entendre non loin d'elle. A première ouie, elle avait crue rêver mais en faite, quelqu'un approchait. Un jeune homme d'a peut prèt son âge s'assise à coté d'elle, elle put apperçevoir son doux sourire sur ses lèvres bien qu'il soit de dos. D'une voix calme et paisible, il lui dit.

C’est agréable … j’espère ne pas vous dérangez … dans votre moment de solitude … je suis sur que vous en vous n’attendiez pas à voir quelqu’un …

La japonaise esquissa un sourire. Elle ferma religieusement son livre qu'elle posa à coté d'elle. Son fidèle sourire qui laissait s'exiber sa belle dentition ne la quittait pas. Sayu regardait le nouveau venus, c'était apparament un photographe car on pouvait bien voir son appareil au tour de son coup. D'une voix mystérieuse, elle lui mumura en se penchant près de l'oreille de son voisin.

"...Bonsoir. Bien sûr que vous ne me dérengez pas, je m'apprétais à partir...Il est vrai que je ne m'attendais pas à voir quelqu'un à cette heure tardive...Tournez vous, je n'aime pas parler à des personnes de dos..."

La japonaise eut un petit rire discret et charmant. Elle espérait qu'il ne l'ai pas mal prit car elle ne lui avait pas dit ça pour le vexer mais c'était vrai que elle n'avait pas l'habitude de parler à des personne de dos, ou tout simplement elle n'avait pas trop l'habitude de parler à des personne qu'elle ne connaissait pas, après tout, il fallait faire des rencontres pour se faire des amis ! Ses mains aux longues doigts se posèrent sur les épaules du nouveau venus, elle lui fit un semblant de massage pour l'inciter à se retourner.

Invité

Tsukiya fut presque surpris d’entendre la voix de cette jeune fille, se murmurer tout en douceur dans ses oreilles. Apparemment elle n‘avait pas l’intention de lui dire de partir, ce qui le soulagea au plus haut point. Il souriait discrètement, tout en gardant une certaine distance vis-à-vis des gens avec qui il parlait et côtoyé.
Il n’avait pas l’habitude de parler aux gens, il était toujours seul, une personne solitaire, où le son de sa bouche se faisait que très rarement entendre aux oreilles des autres. Mais peut-être, quand était isolé de tout, en la présence de cette nuit, il serait fort possible pour lui, de parler, sans aucune gêne et avec bien être.

Tsukiya était complètement dans ses pensées, mais fut prit d’un étrange frisson, voir de chaleur, par ce contact sur son épaule, il eut le réflexe de se penchait vers l‘avant, pour enlever ce contact, puis ils e toucha l’épaule, la frottant tout doucement. Et puis, il écoutait la jeune fille parlait, et il s’exécuta sans aucun soucis, et se retourna vers elle, pour être face à elle désormais.
Il était assit à ses côtés, puis son visage se pencha vers le bat, et son regard observait le livre, il le prit dans ses mains et lu le résumé. Ce livre avait l’air plutôt intéressant à lire.

Vous aimez lire ? Quelles sont les genres que vous préférez ? Si ce n’est pas trop indiscret ?

Il lui souriait puis feuilleta rapidement les pages, tout en touchant certaines, avec le bout de doigts fins. Ses cheveux bougeant dans le vent, laissant des mèches se poser devant ses yeux, tout en gardant un sourire, et une expression très concentré sur ce livre, qui était pour lui, comme un objet de valeur et intéressant.

Qu’est ce que vous étudiez ici ? Moi, comme vous pouvez le voir, ma passion c’est la photographie !!

Invité

Sayu souriait au jeune homme. Elle s'assise un peu plus convenablement car là elle était assise très décontracté, surtout avec son kimono qui risquait de se froisser. Donc la jeune femme s'assise sur les talons, ses mains sur ses cuisses. Sayu ne fut pas surprise qu'il s'avance pour lui dire d'arrêter, elle était aller un peu trop loin, mais elle ne c'était pas pour autant excusée.

Depuis qu'elle était petite, Sayu vécu avant la mort de sa mère, dans un monde très...comment dire...stricte. C'est pour cela que depuis toute petite Sayu détestait les gens mal polie ou alors elle faisait tout pour paraître courtoise. Son regard ne croisait que rarement celui des hommes car elle parlait rarement avec eux, sinon dès qu'elle parlait avec un de ceux là, elle le faisait en recherchant bien ses mots pour ne pas paraître idiote.

Le jeune homme se tourna vers elle, se qui l'étonna un peu. Il lui prit son livre et le lut. Sayu restait très discrète, son regard était posé sur ses mains, elle ne regardait plus le jeune homme en face d'elle, sauf bien sûr si il lui demandait quelque chose.

Vous aimez lire ? Quelles sont les genres que vous préférez ? Si ce n’est pas trop indiscret ?

Que de questions ! Un fin sourire se fit voir sur le doux visage de la japonaise. Elle passa une main dans ses longs cheveux puis s'empara d'une mèche rebelle qu'elle enroula autour d'un doigt, elle ne répondit pas tout de suite car il enchaîna tout de suite. Il semblait intéressé par le livre, il parcourait les pages. Ce qui étonna Sayu, c'était que le jeune homme affichait lui aussi un sourire, un sourire charmant.

Qu’est ce que vous étudiez ici ? Moi, comme vous pouvez le voir, ma passion c’est la photographie !!

Quand il lui parla de sa passion, la japonaise n'en fut pas étonnée. Elle inspira un bon coup puis leva enfin son regard sur cet personne qui semblait si discrète, enfin autant qu'elle, si gentille et si timide. Mais il avait l'air si seul, c'était vraiment dommage.

"...La lecture fait partie de mes nombreuses passions. Je lis tout, des romans aux mangas en passant par le journal. J'ai remarqué dés votre arrivée que vous aviez un appareil photo, donc je me suis dis que vous faisiez partie de ceux qui aiment prendre des photos...Je suis enchantée de vous connaître..."

Sayu baissa à nouveau son regard pour le déposer sur ses mains qui étaient posées sur ses cuisses. Le vent fraît du soir glissait sur son beau kimono de soie. La mèche rebelle qu'elle avait auparavant enroulée autour de son doigt était désormais rangée derrière son oreille. Elle aimait être présentable à n'importe quel moment de la journée mais jamais elle n'avait parlé à quelqu'un la nuit, sous un ciel tacheté de millions d'étoiles ainsi qu'une légère brise caressant leur peau.

Invité

Tsukiya l’écoutait parlé, ne disant rien, ne parlant pas, l’écoutant tout simplement dans le calme absolue de la nuit. Ou seul le vent cajolé leur peau et se faisait entendre, mais il fut surprit que les oiseaux est s’aisé de chanter. C’était dommage, car il appréciait, entendre des animaux s’exprimait en communauté, entre leur famille, montrant leur existence dans cette nuit étoilé, où seul le vent est présent ou les êtres humains ne sont point là, c’était comme ci, pour lui, ses oiseaux là, étaient le centre du monde pendant toutes ses nuits, ce qui le rendait nostalgique et légèrement heureux.

Apparemment, cette jeune fille, avait l‘air d’être une personne, qui faisait attention à ce qu’elle disait et qui prenait bien soin de prendre une bonne posture, ne voulant montrer aucun trait, mauvais de sa personnalité. Ce qui lui fit sourire. Il la comprenait il avait tendance à être comme ça, lui aussi, quand il s’adressait aussi, son apparence jouant pour lui, à ses yeux une grande importance vis-à-vis du public.

Vous avez vu juste … Je n’avais donc même pas besoin de vous le dire … puisque c’était voyant et prévisible … autour de mon cou !

Il ne pu s‘empêcher de rigoler un tout petit peu, mettant sa main devant sa bouche, pour ensuite frotter le dos de sa main, sur son bout de nez froid. Il remit ensuite le livre ou il était avant de l’avoir prit dans ses mains. Puis il observait le ciel étoilé, calmement, ayant le regard rêveur et plongé dans les étoiles il posa ses mains derrière lui pour se penchait en arrière, pour avoir un angle meilleur de cette vue. Tout en gardant son regard en contemplation avec le ciel, il se mit à parler.

La nuit est belle n’est ce pas ? Le vent est doux… J’aimerai dormir ici jusqu’au lendemain matin … c’est fou n’est ce pas, de m part de penser comme telle ?

Il souriait, et il se mit à regarder la jeune fille, qui était à ses côtés, il observait son visage, il ne savait même son prénom et elle ne savait pas le sien … c’était sans doute le bon moment de lui demander …

Quel est votre prénom ?

Invité

Sayu repensait à son livre. Le style d'écriture qu'avait utilisé l'écrivain était...envoutant. Qu'est-ce qu'un samouraï ressentait pendant une bataille ? Celui du livre ne pensait qu'a sa douce qui rêvait secrètement de lui mais qui n'osait pas lui dire. Existait-il ses histoires en réalité ? Pourait-elle être une paysanne courtiser par un homme qui serait son samouraï ? Surment pas ! Après tout, Sayu était souvent seule et n'aimait pas trop la compagnie de personnes inconnues.

Le vent soufflait sur leur peau, cela était très agréable, Sayu pensait que c'était comme si l'on caressait leur joue avec de la soie. Son regard ne s'était toujours pas relevé, ce jeune homme ne semblait pas avoir voulut d'elle quand elle avait posé ses mains sur ses dures épaules, il semblait si gentil mais si renfermé, c'était vraiment dommage mais il fallait faire avec.

Le jeune inconnu semblait l'écoutait à livre ouvert, il ne parlait pas.
Il n'y avait auparavant que la voix de la jeune japonaise qui persait ce silence pensant qu'offrait la nuit, mais ce silence était aussi extrèment reposant. Il ne semblait pas choqué qu'elle ne le regarde pas, qu'elle se tienne bien et qu'elle choisisse ses mots comme si elle devait les réciter devant une personne importante. Peut être que lui aussi était comme cela ?

Vous avez vu juste … Je n’avais donc même pas besoin de vous le dire … puisque c’était voyant et prévisible … autour de mon cou !

Le jeune homme ne put s'empécher de rigoler, Sayu fit de même tout en restant discrète. C'est vrai que il n'y aurait juste un aveugle qui n'aurait pas remarqué son appareil qu'il portait autour du coup. Son regard se posa sur le ciel infini étoilé, celui de Sayu voulut faire de même mais resta collé sur ses genoux, allez savoir ! Le jeune inconnu avait reposé le livre là où il l'avait prit pour ensuite dire.

La nuit est belle n’est ce pas ? Le vent est doux… J’aimerai dormir ici jusqu’au lendemain matin … c’est fou n’est ce pas, de m part de penser comme telle ?

Sayu aquissa d'un signe de tête, son sourire rayonnant ne la quittait pas. Lui aussi avait des rêves fou ! C'était un grand réveur tout comme Sayuri qui ne faisait que ça, sauf en cours bien entendu. La japonaise sentait que le jeune homme l'observait, cela la génait un peu mais elle ne dit rien.

Quel est votre prénom ?

"...Sayuri...Mais vous pouvez m'appeler Sayu..."

Se fut les seuls mots qu'elle prononça. Elle avait oublié de demandé quel était son nom à lui ? Sayu ne le savait pas mais il lui dirait surment, un jour, ou eut être ce soir, se serait bien.

Invité

Alors comme ça, son prénom était Sayuri. C’était un jolie prénom. C’était sa première pensée quand il l’avait entendue lui dire, comme elle s’appelait.
Mais il fut tout de même surprit, qu’elle ne lui est pas demander le sien, après qu’elle lui est donner son prénom. Il lui souriait, il appréciait vraiment, cet atmosphère de tranquillité, qui régnait autour d’eux, c’était apaisant de pouvoir, avoir l’impression et de ressentir d’être seul dans cette ville. Il avait presque l’impression, qu’ils étaient les seuls survivants dans le monde, dans ce soir là où ils se sont rencontrés. Tsukiya avait bien l’intension de lui dire comment il s‘appelait, il n’aimait pas laisser les choses à moitié faite, il aimait que tout soit pareil et que rien ne le chamboule, car ça avait tendance à le rendre malade, de pas savoir les choses, ou d’en savoir plus sur les gens, alors que de son côté, personne ne savait qui il était, c’était assez frustrant. Et ce n’était pas dans ses moments là, qu’il aimait l’être. Il tourna son visage vers la jeune fille, puis se mit à lui sourire.

Mon prénom c’est Tsukiya …

Il tendit sa main vers elle, elle espérait qu’elle comprendrait, qu’il voulait lui serrait la main, pour lui dire, qu’il était enchanté de faire sa connaissance, et qu’ils seraient susceptible à devenir ami, si le temps le permettait et s’ils le voulaient surtout. Il tendit sa main, tout en gardant ce sourire chaleureux, et ce regard empli de chaleur et d’enfantillage, ayant toujours dans ses yeux, en grande part d’enfant, qu’il s’y reflétait. Il espérait qu’elle lui serrerait la main.

Tsukiya appréciait le vent qui touché sa peau, il appréciait le temps qu’il faisait, c’était agréable de voir et de sentir que cette nuit, n’était pas glaciale comme les autres fois. Il aimait les nuits tièdes, où il n’avait pas froid. Le beau temps était au rendez-vous, n’était ce pas une bonne soirée, pour espérer créer un lien d’amitié entre eux deux ?

Invité

Sayu souria a son nouvel ami. Elle était contente de savoir qu'il ne se fichait pas d'elle. Depuis le début, elle avait sentit qu'il était très gentil et elle avait voulus être son amie. Maintenant elle espérait plus que se soit réciproque. La japonaise n'avait pas beaucoup de grand mai mais le peu qu'elle avait lui suffisait. Après tout, il n'y avait pas une phrase qui disait 'qu'il fallait mieu être seul que mal accompagné ?' Le jeune homme tourna son visage vers le sien en lui souriant.

Mon prénom c’est Tsukiya …

La jeune femme esquissa un plus grand sourire. Tsukiya ? Un joli prénom pour une sâge personne. Tsukiya...On aurait dit le mélange entre la férocité du katana d'un samourai et la douceur d'une fleur de cerisier venant d'éclore. Si l'on rajoutait un 'h' à son prénom à elle, son prénom aurait signifier petit lys, mais bon. D'une voix douce et timide, elle lui avoua.

"...Tsukiya...Un très joli prénom..."

Sayu osa porter son regard dans le sien quelques instant. Quand il avança sa main vers elle, la japonaise se demanda se qu'il voulait bien faire avec cette main. La serrer bien entendu ! La jeune femme remarqua qu'il attendait qu'elle lui la serre mais Sayu n'avait pas l'habitude de serrer la main d'un homme, ou plus simplement elle n'avait pas l'habitude de serrer la main de quelqu'un. Après un moment d'hésitation, Sayu posa sa main dans la sienne qui était largement plus grande et lui la serra un peu. Ami ? Si ils ne l'étaient pas encore ils le deviendraient surment.

La jeune femme s'était faite un nouvel ami le soir où le ciel était très beau. L'air doux du soir d'été était très apaisant. Elle était contente d'avoir mis un beau kimono pour être présentable devant ce jeune homme si gentil qui aimait la photographie. Elle se demandait vraiment si c'était le destin qui lui avait fait connaître un nouvel ami car Sayu se disait qu'elle avait vraiment de la chance de ne plus être seule.

Invité

Tsukiya fut tout simplement rassuré et même satisfait, que Sayuri lui serre la main. Il avait vu beaucoup d’hésitation quand elle avait vu sa main se tendre vers elle, il se demandait s’il n‘avait pas était trop rapide ou voir trop brusque, et si ce n’était pas un peu trop tôt de faire ce genre de présentation. Tsukiya, avait la fâcheuse tendance à ne jamais réfléchir, avant de faire ses mouvements. Maintenant, il s’était posé des questions, sur sa façon d‘être. Mais il fut prit d’un soupire de soulagement, quand la jeune fille, après quelques secondes d’hésitation, finit pas accepter et par lui serre la main. Il ne la serra pas trop fort, ne voulant pas écraser sa main ni même la blesser, sinon il s’en serait voulu. Il sentait la chaleur de la main de la jeune fille, le parcourir, ce qui avait tendance à l‘apaiser et à le rassurer. Sayuri avait l‘air d’être une personne très gentille et mature pour son âge, ayant cette part de timidité, qui reflétait une partie de son charme. Il en fallait donc pas qu’elle change, elle était bien, tout simplement elle-même, elle ne jouait pas une autre personne, il le savait quand il lui avait parlé et regardé ce soir.

Il y avait de grande chance qu’ils puissent bien s’entendre tous les deux, en sachant qu’ils étaient à peu près pareils. Son prénom lui plaisait, ce qu’il le rendit légèrement gêné mais aussi très touché.

Le votre et très jolie aussi … rassurez vous …

Il lui lança un sourire un simple sourire, un vrai un sincère, qui n’était pas fou, et qui montrait la personne qu’il était et à qui elle avait à faire devant ses yeux. Il lâcha ensuite sa main puis se leva et posa ses pieds sur les tuiles, et il prit son équilibre, il avait envie de marcher sur ses tuiles, sans même savoir pourquoi, il avait toujours eu envie de le faire, même si ça pouvait être dangereux.

Et si je vous proposez de marcher sur le toit en ma compagnie accepteriez vous ?

Il lui tendit sa main, tout en souriant d’une manière charmant et quelque peut enjôleur, penchant sa tête vers la gauche, tout en laissant le vent lui caresser la peau, et bouger ses cheveux dans un mouvement lent et précis. Elle espérait qu’elle accepterait, puisque se serait une bonne expérience et qu’ils s’en souviendront toute leur vie. Enfin, c’est ce que lui, ce qu’il avait l’intention de faire, qu’il avait pensé et envisagé. Il se voyait vieux, et ou il repenserait à son enfance, et ou cette scène lui reviendrait en mémoire, ce qu’il lui donnerait la force de vivre, et qu’il serait toujours aussi enfantin malgré son vieil âge.

Invité

La visage du jeune Tsukiya s'apaisa lorsqu'il vit qu'elle accepta de lui serrer sa main. C'était vrai que c'était très tôt pour serrer la main d'une personne que l'on vient de rencontrer mais ça ne génait pas Sayu, au contraire, c'était la première fois qu'un jeune homme lui serrait la main si vite, c'était...comment dire...Cool ! Tsukiya n'avait pas trop serré la main de Sayu de peu peut être de lui faire mal car sa main à lui était gigentesque il fallait dire par rapport à celle de Sayu.

Tsukiya semblait à la fois géné et touché par la remarque de Sayu sur son prénom. D'habitude c'était aux hommes de dire ça aux femmes mais là les rôles avaient été inversés. Sayu ne c'était pour une fois pas géné pour lui dire la vérité.

Le votre et très jolie aussi … rassurez vous …

Sayu sentit ses habituelles deux taches roses apparaître sur son visage. C'était génant d'entendre ça de la bouche d'un homme mais c'était la vie ! Elle était à la fois contente et génée, tout comme lui l'avait été.

"...Merci..."

La jeune japonaise apperçut un tendre sourire s'afficher sur le visage de Tsukiya, un sourire simple mais qui réchauffer le coeur, un sourire sincère pas comme ceux de certaines personnes qui sont gentilles avec vous puis qui vous poignardent dans le dos comme un vulgère animal sauvage. Le jeune Tsukiya se leva et prit équilibre sur les tuiles du toits, il lui dit d'une voix charmante quoiqu'un peu enjoleuse.

Et si je vous proposez de marcher sur le toit en ma compagnie accepteriez vous ?

Il tandis sa main vers elle. Sayu aquissa d'un signe de tête puis montra qu'elle était d'accord. Elle se releva doucement et fit attention de ne pas trébucher sur son beau kimono. La japonaise avait contrairement à se que l'on peut voir d'apparence, l'esprit libre. C'était la première fois qu'elle se balladerait sur un toit en compagnie de quelqu'un, cela ne lui géné pas de courir un petit danger tant que c'est pour s'amuser un peu. C'est vrai que c'est dangereux car si une tuile tombe, l'un des deux peut tomber en bas. Donc pour éviter de glisser, Sayu ne prit pas la main du jeune homme mais lui prit carrément le bras, le vent fouéttait son kimono rose ainsi que ses longs cheveux bruns. D'une voix timide mais amusée, elle lui dit.

"...Je vous fais confiance pour ne pas me laisser tomber..."

Invité

En voyant que la jeune fille, était tout simplement partante pour marcher sur le toit, mais qu’elle gardait tout de même, une certaine inquiétude, ça se comprenait ce genre de chose, grimper sur un toit, ou marcher sur des tuiles, n’était pas sans risque.
Mais le plus importante et ce qu’il ne devait pas se faire, c’était qu’elle soit crispée, sinon elle serait susceptible de tomber par terre.

Tsukiya ne bougea pas, et laissa la jeune fille se levait d’elle-même, en la surveillant touts ses faits et gestes, près à intervenir si elle tombait ou quelque chose dans le genre. Il la laissa passer son bras autour de son bras, légèrement surprit au début, qu’elle s‘agrippe à lui comme ça. Mais il ne broncha pas et lui souriait d’une manière rassurante.

Ayez confiance en moi … en ce que vous faites … ne regardez pas en bas … et suivez mes pas … et tout se passera bien …

Il commença à marcher tout doucement sur les tuiles, avec elle, y allant tout en douceur au début, ne voulant pas qu’elle tombe, il voulait qu’il soit sur de ses mouvements, et qu’elles ache exactement ce qu’elle devait faire pour assurer sa propre sécurité. Il s’arrêta quelques instants puis se tourna vers elle, tout en posant sa main sur celle de la jeune fille.

Vous allez bien ? Ou êtes vous effrayez ?

Il l’observait attendant sagement sa réponse, regardant els étoiles dans le ciel, ayant un sourire radieux et sincère se dessiner sur ses lèvres, fermant ses yeux, pendant que le vent touché encore et toujours son visage, il adorait vraiment les caresses du vent, qui n’était pas pour lui déplaire. Tsukiya avait presque envie de se jeter dans le vide, même s’il savait qu’il était bien incapable de voler, il ne pouvait pas s’empêcher d’avoir cette pensée.

Est-ce que vous venez souvent ici ?

Invité

Tsukiya ne bougea pas lorsqu'elle lui emprinta son bras pour ne pas tomber. Elle esquissa quand même un sourire pour lui montrer que ce n'était pas une froussarde, se serait vraiment humiliant de se faire prendre pour ça. Au début bien sûr le jeune homme parut légèrement surpris par la réaction de Sayu qui lui aggripait le bras mais son sourire rassurant lui montrait que ce n'était pas grave.

Ayez confiance en moi … en ce que vous faites … ne regardez pas en bas … et suivez mes pas … et tout se passera bien …

La japonaise aquissa d'un signe de tête. Bien sûr qu'elle avait confiance en lui, elle avait confiance en tous le monde se qui la rendait très naïve de temps en temps. Il était légèrement plus grand qu'elle et son bras était musclé donc ce n'était pas dure de rester accrocher. Sayu remarqua qu'il marchait très doucement en début, il ne voulait surment et heureusement pas qu'elle tombe. Tsukiya s'arreta quelques instants, il posa sa main sur celle de Sayu en lui demandant.

Vous allez bien ? Ou êtes vous effrayez ?

La prenait-il pour une peureuse ? Sayu le lâcha puis croisa ses bras.

"...Oui ! Je vais même très bien ! Ne vous inquiétez pas ! Tant que je ne trébuche pas c'est que je vais bien ! Si je trébuche...Ba je tombe !"

La jeune femme eut un petit rire, elle observa son ami qui avait fermer ses yeux, un sourire radieux dessiné sur ses lèvres. Sayu était heureuse de voir quelqu'un joyeux. Pour ne pas gacher se moment de calme, la japonaise ferma aussi ses yeux, se laissant d'une certaine manière comme portée par le vent qui caressait délicieusement sa peau douce.

Est-ce que vous venez souvent ici ?

Sayu ouvrit soudainement ses petits yeux. Elle réfléchit un instant avant de répondre. C'était vrai que depuis qu'elle était ici, elle venait souvent pour se reposer et se vider de ses journées de travail.

"...Oui, souvent ! Et vous ?"

En attendant sa réponse, Sayu se mise à regarder fixement la grosse lune argentée qui s'exibait entre les nombreuses étoiles. Elle était magnifique ce soir.

Invité

C’était tout de même logique, qui si elle trébucherait elle tomberait, mais ce qu’elle ne savait pas, ce que lui aussi tomberait, avec elle, pour la protéger de la chute qu’elle ferait, et qu’il recevrait tous les coups, pour ne pas que la jeune fille souffre ou meurt. Il prendrait même le risque de perdre sa vie, en sachant qu’il aurait sauvé une vie, et qui c’était ce qu’il conterait le plus, à ses yeux, que de vivre, ayant dans sa conscience, de la mort de la jeune fille, qui le rongerait tout le long de sa vie. Il posa sa main sur son épaule, la tapotant un peu, en signe d’amitié.

Si vous trébucherez sachez que je tomberai avec vous, pour vous protégez … ou alors je réussirais à vous rattraper sans que nous risquions nos vies ….

Il se mit à rire à son tour, il avait été sincère dans ses paroles. Ses yeux ne le trompaient pas et il ne mentait encore moins. Il espérait que le message avait été reçu, et qu’elle le prendrait au sérieux. Peut-être, qu’elle en rirait, mais valait mieux en rire quand pleurer. Comme il avait mieux vivre que de mourir.
Il espérait que ses mots ne seront pas prit à la légère. Il arriva devant une cheminé, puis décida d’appuyer le abs de son dos, contre le rebord de la cheminée, posa ses mains sur le rebord, caressant avec le bout de ses doigts la pierre avec des gestes précis et très doux, comme si cette pierre était sacrée ou qui pouvait facilement se casser, s’il faisait un mouvement brusque. Il resta silencieux quelques secondes se décalant vers la gauche, pour laisser une place, au cas où si la jeune fille voudrait s’installer près de lui.

Je viens régulièrement, enfin surtout le soir … mais je vais d’un toit à l‘autre … je en reste jamais au même …

Il lui souriait, puis se mit à pencher son visage vers le bas, appréciant ce qu’il se trouvait sous ses pieds, il y avait une fontaine, éclairé par des lumières bleuâtre et blanche, c’était magnifique à regarder, on avait l’impression que dans cette eau, ce cacher des diamants tellement c’était étincelant.

Invité

Sayu souriat à son ami le photographe. Il était super simpa ! Elle qui pensait que dans cette école, se serait dure de se faire des amis, elle c'était ça lorsqu'elle était venue pour la première fois. La japonaise admirait ce jeune homme si gentil ! C'était bien rare de nos jours. Les mecs de nos jours sont très...comment dire en un mot...Perver ! Voila ! Ils ne pensent qu'au fille et les prennent pour des baisodrômes, enfin pour la plus part. Les joues de Sayu rosirent lorsque Tsukiya posa sa main sur son épaule en la tapotant en signe d'amitier, elle n'avait pas l'habitude.

Si vous trébucherez sachez que je tomberai avec vous, pour vous protégez … ou alors je réussirais à vous rattraper sans que nous risquions nos vies ….

La jeune femme fut soufflée par la remarque du jeune homme. Pourquoi prendrait-il la peine de se 'sacrifier' pour elle ? Sayu n'en croyait pas ses oreilles, peut être le vent avait-il changer le son d'un mot pour en mettre un autre, c'était étrange mais elle le remercia quand même.

"...Merci Tsukiya-kun..."

Sayu remarqua qu'il avait rit, il avait un beau rire, peut-on dire qu'une personne a un beau rire ? En tout cas, Sayu pensait ça. Ils arrivèrent devant une cheminée, Tsukiya s'adossa contre mais laissa un peu de place pour Sayu qui eut aussi envie de s'adosser, elle le remercia en lui souriant amicalement.

Je viens régulièrement, enfin surtout le soir … mais je vais d’un toit à l‘autre … je en reste jamais au même …

La jeune femme esquissa un petit sourire tendre. Elle remarqua qu'il admirait la belle fontaine qui scintillait sous leurs yeux. Il n'y avait pas de plus beau spectacle que le spectacle qu'offrait la nuit. La belle lune ronde était pleine et devant eux, les étoiles tachetés le ciel pour le rendre magnifique. Sayu poussa un soupire, elle était vraiment contente et apaisée, elle c'était faite un ami super simpa qui la comprenait sur certaine chose, comme la belle nature ou le calme si paisible.

Invité

Il serait peut-être pour lui, de rentrer, c’est ce qu’il avait pensé il y a quelques instants quand il marchait sur le toit. Mais maintenant qu’il avait vu la fontaine, il avait vraiment envi d’aller la voir de plus près et de s’y reposer un bon moment. Et pourquoi pas de passer le restant de la nuit près de la fontaine, une nuit blanche, il adorait en faire, car il n’aimait pas dormir, en se sentant seul dans son lit, la solitude et els questions le rongeaient à chaque fois qu’il s‘allongeait et qu’il essayait de dormir.

Tsukiya observant la jeune fille, puis décida de lui demander s’il elle souhaitait ou non venir voir la fontaine de plus près, avec lui, et de descendre sur la terre ferme pour pouvoir aller s’assiégé près de la fontaine.

Est-ce que vous souhaitez venir avec moi près de la fontaine ?

Il se devait de lui demandait, comme ça, pour être poli, ne voulant pas laisser en plan la jeune fille, il n‘aimait pas partir en laissant une personne pointé là, sans lui dire quoi que se soit, de ce qu’il s’apprêtait à faire, et puis si elle venait pas, ce n‘était rien, être seul près de la fontaine ne le dérangerai pas le moins du monde.

Je ne vous oblige en aucun cas à venir.

Il attendait qu’elle lui réponde, pour enfin pouvoir redescendre pour aller voir cette fontaine qui le captivait et qu’il l’intéressait depuis quelques minutes maintenant qui semblait interminable.

Invité

La nuit était paisible. C'était agréable cete légère brise qui caressait la peau des deux jeunes gens qui marchaient en faisant bien sûr attention sur le toit. Sayu n'avait jamais fait ça en compagnie de quelqu'un, c'était étrange bien cela ne la génait pas. La nuit était la plus belle qu'elle n'ai passé depuis bien longtemps. Le ciel était tellement brillant à cause des nombreuses étoiles que ça en faisait mal aux yeux si on le regardait trop longtemps. Sayu remarqua que Tsukiya regardait la belle fontaine où l'eau reflettait le magnifique ciel étoilé. Il finit par lui demander :

Est-ce que vous souhaitez venir avec moi près de la fontaine ?

Sayu posa cette fois-ci son regard sur Tsukiya. Elle se doutait que c'était juste pour ne pas la laisser en plant. La jeune femme n'allait tout de même pas refuser ! Elle esquissa un petit sourire en coin pour finir par lui dire amicalement.

"...Bien sûr ! Je vous suis !"

Je ne vous oblige en aucun cas à venir.

"Je viens car j'en ai envie ! Ne vous inquiétez pas !"

La Kyoshi eut un petit rire. Il descendir du toit, Sayu avec l'aide précieuse de Tsukiya. Essayez de descendre d'un toit avec un kimono, pas facile, hein ? Une fois près de la-dite fontaine, Sayu s'assise contre le bord de celle-ci et regarda l'eau illuminée par les étoiles et la lune. Elle murmura une faible phrase qui montrait qu'elle était impréssionnée par la beauté de l'eau.

"...Wahou...C'est magnifique..."

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