Taiyou no Uta [JP]

Histoire : Lorsqu'il arrive sur le bord de mer, Kouji n'a pas grand chose. Son travail, ses projets d'avenir, ses rêves... Il les a tous perdus. Et ce, du mois le pense-t-il, pour toujours. Mais alors qu'il est embauché, avec ses amis du lycée, dans une auberge sur la plage, le jeune homme fait la rencontre de Kaoru. Contrairement à Kouji, celle-ci a un bagage bien chargé : une maladie incurable qui l'empêche de s'exposer aux rayons du Soleil, une courte espérance de vie, du courage à revendre, et par-dessus tout, un objectif inatteignable, celui de faire découvrir ses chansons au monde entier... voilà tout ce que la demoiselle possède. A son contact, Kouji va retrouver l'amour, l'espoir et sa passion pour la musique - des choses qu'il pensait alors à jamais égarées.

Citation :

* Yamada Takayuki dans le rôle de Fujishiro Koji
* Sawajiri Erika dans le rôle de Amane Kaoru
* Matsushita Nao dans le rôle de Tachibana Asami, la plus insupportable amour d'enfance
* Tanaka Kei dans le rôle de Onishi Yuta, un des amis de Kouji - l'intello pour qui finira sûrement ingénieur
* Sato Megumi dans le rôle de Matsumae Misaki, la meilleure amie hyperactive de Kaoru
* Hamada Gaku dans le rôle de Kato Haruo, un des amis de Kouji - le souffre-douleur attitré du groupe
* Kawamura Yosuke dans le rôle Tatsunami Ryusuke, un des amis de Kouji - le tombeur de ces dames
* Kobayashi Mao dans le rôle Miura Yuko, la fille de l'aubergiste
* Becky dans le rôle Emily, l'employée la plus barge de l'hôtel
* Kaname Jun dans le rôle Kudo Yohei, le producteur peu scrupuleux
* Kuroda Chieko dans le rôle de Amane Yuki , Môman
* Katsumura Masanobu dans le rôle de Amane Ken, Pôpa
* Yamamoto Kei dans le rôle de Enokido Shinichi, le docteur

Avis personnel :
- ce que j'ai aimé : En gros, cinq raisons pour adorer.
[°] L'OST est superbe. Normal pour un drama qui traite de musique, mais par superbe, j'entendsvraiment superbe. Et par OSt, je ne me cantonne pas aux chansons, mais aussi au morceau instrumentals.
[°] Visuellement, c'est tout aussi réussi. Non, l'acteur principal n'est pas d'une beauté transcendante, mais les scènes sont vraiment bien filmées. Cadrage, éclairage. Frappant. Surtout que, du fait de la maladie de Kaoru qui ne peut pas être exposée à la lumière du jour, la plupart des scènes se déroulent de nuit on à l'aube. Oh, les scènes à l'aube *.*
[°] A première vue, Taiyou no Uta semble être du recuit, du réchauffé au micro-ondes même. Parce qu'on a déjà vu Seikatsu, parce qu'on a déjà vu Ichi Rittoru no Namida. D'ailleurs chacun des acteurs principaux a joué dans une de ses séries... Mais contre toute attente, l'atmosphère de Taiyou no Uta est différente. Pas forcément plus joyeuse, ni légère. mais peut-être plus confortable, moins 'prends-toi ça dans les dents.'
[°] Très bon jeu des acteurs. Inattendu aussi. Par exemple, Sawajiri Erika qui jouait Ikeuchi Aya dans Ichi Rittoru no Namida, et prend le rôle de Kaoru, ici. Les deux personnages partagent nombre de points communs : courage, sort inéluctable. Et pourtant, l'actrice arrive à leur donner à chacune un jeu, une vie unique, qui leur est propre. C'est chouette.
[°] Les personnages secondaires sont intéressants. Ce qui est chouette et permet de ne pas avoir une histoire centrée sur les personnages principaux, leurs vies et leurs douleurs en version encyclopédique, les redites en plus. L'histoire varie. Puis ils forment un cercle d'amis très touchant, et a fortiori très solidaire.

- ce que je n'ai pas aimé : Erm. Oui, certes. Peu de chose. Limite, rien... Bon ok, parfois, il y a cette manière un peu facile dont sont amenées les choses. Ca laisse un peu... 'bleeeh'. "Comme par hasard, c'est à ce moment là que...", "Il y a 6,5 milliards d'individus dans le monde, mais sur qui on tombe ?". Mais d'un autre côté, c'est un drama. Donc oui, le sort est parfois un peu trop forcé pour faire avancer l'histoir... Mais mieux vaut ça qu'une intrigue lente et figée, hein ?

Ah, et je me souviens ne pas avoir aimé Asami... Mais étant donné que ça, fait déjà un an que j'ai vu le drama.

[Oui, pour une présentation plate, c'est une présentation plate. Mais erm... vous m'aimez, quand même, ne ? ... Ou pas.]