Tokyo High School
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Tokyo High School

...
 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Immortalisons sur la toile, ce qu’on appelle la vie [ P.V ]

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Tamaki Noru
~ CLASSE D - 3
Tamaki Noru


Messages : 19
Date d'inscription : 23/02/2008

~> Vous, Tokyoïte <~
Âge : 16 ans
Occupations: Dessiner...et dormir
Relations:

Immortalisons sur la toile, ce qu’on appelle la vie [ P.V ] Empty
MessageSujet: Immortalisons sur la toile, ce qu’on appelle la vie [ P.V ]   Immortalisons sur la toile, ce qu’on appelle la vie [ P.V ] EmptyMar 25 Mar - 10:19

Mille est une couleur, mille et un contraste qui donnent toutes les saveurs à ce qui nous entoure. Nous n’avons jamais la même impression, jamais le même plaisir et les mêmes sentiments en regardant un paysage par rapport à un autre. Il semble que les formes peuvent jouer dans tout ça, mais c’est surtout du aux couleurs qui se mêlent sans cesse. Est-ce possible de toutes les voir ? On ne peut même pas donner un nom à toutes. Il ne suffit pas de regarder le ciel pour enfin trouver des réponses. Peut-être n’y en a-t-il tout simplement pas ? C’est ainsi qu’on cherche sans cesse à s’identifier à ce monde si mystérieusement colorer. Le matin, des teintes rougeâtres allant jusqu’au rose pâle qui se mélange au bleu clair. Mais le soir, les couleurs chaude ressurgisse mais dans des tons plus agressifs, plus foncé comme ne voulant pas laisser la nuit apparaître. Le monde tout autour de nous est régit par les couleurs, par des expressions qui ne viennent que d’elles. Mais elles ne sont pas toujours des plus belle. Il ne faut pas croire que parce que c’est beau ce sera forcément d’une couleur et d’une nuance inespérée, ce serait absurde que de croire cela. Voilà donc que les couleurs du levé du soleil viennent de s’estomper, tout doucement, comme pour ne plus exister. Pourtant on sait que demain ils reviendront, c’est ainsi chaque jours depuis des millénaires et nous n’y pouvons absolument rien. Le monde entier n’est pas baigné dans cette chaleur matinale, mais toute l’Asie oui ! Ainsi, Chinois, Coréens mais surtout pour là où nous souhaitons être voilà le Japon qui se réveille au même rythme que le soleil.

On peut donc voir qu’un jeune homme ne fait pas exception. En effet, lui aussi va se lever pour aller en cours avant d’arriver en retard. Même si pour lui le retard ne signifie pas grand-chose vu qu’il ne compte pas encore une fois étudier. Il est las, on dirait que tout le grise. Mais il n’y peut rien de toutes manières. Il se doit de suivre ce qu’on lui dit et c’est pour cette raison qu’il vient encore à l’école alors que la chose la plus raisonnable qu’il aurait à faire est de ne plus jamais y remettre les pieds. Mais encore plus aujourd’hui, il est légèrement motivé. En effet il a son cours de dessin et donc prend sa toile. Elle est loin d’être terminé, on pourrait même se dire qu’elle n’est pas commencer, mais c’est juste qu’il a fait toutes ses esquisses sur son cahier pour ne pas avoir à abîmé une toile si belle. Il était comme tous les jours, les cheveux en batailles, l’uniforme mal mis comme si il sortait du lit en fait. Ce n’était pas sa faute, c’était juste sa manière d’être. Son regard noisette se posa alors sur son petit appartement, il était tout aussi miteux que lui finalement. Mais comme tous grands artistes il devait supporter ça avant de gagner des millions pour ses toiles, même si celles-ci ne se vendront sûrement qu’une fois qu’il sera mort. C’est ainsi que va le domaine de l’art, mais quoiqu’il arrive il a besoin de ça, c’est pour cette raison qu’il continue car le contact avec les couleurs et le sens profond de la vie est bien trop important.

En marchant, il ne peut s’empêcher de contempler, il cherche tout comme le monde entier l’harmonie parfaite entre les couleurs et surtout entre ce qui nous entoure et nous même. Mais ce qui frappe son œil, ce n’est pas tant les couleurs simples, non ce serait bien trop facile que de chercher et de dire cela va avec telle ou telle couleur, lui ce qu’il cherche réellement c’est de trouver comment parler, comme au temps des anciens, avec juste des traits. Dur défis que de vouloir ainsi mettre en avant les couleurs qui nous entourent, mais surtout leur signification qui sont pour tous quelque chose de différent. Cela commence donc avec le rouge, cette couleur dirigeante qui est en chacun de nous par le biais du sang. D’ailleurs voilà qu’il s’est assis dans le parc. Et l’école ? Ils se passeront de lui aujourd’hui, il avait déjà passé le portail mais il ne pouvait plus se retenir, il posa sa toile sur lui mais pris un cahier avant de prendre sa palette de plusieurs teintes et il commença à dessiner un trait qui semblait être comme une rivière. Mais une rivière rouge à laquelle il était possible d’y ajouter la mort. Mais quoi de plus naturel et légitime que de mettre cette couleur si obscure ? Il symbolise tout de même le sang qui coule, un sang qui na aucune frontière et commune à chaque homme. La couleur des meurtres que des hommes commirent juste pour leur pouvoir. Le rouge couleur de la puissance alors pourquoi continuons nous a admiré cette couleur ? C’est étrange tellement de gens ont souffert à cause de celle-ci mais elle attire. Peut-être parce que pour beaucoup elle représente aussi les passions ?

Noru était encore en train de faire son ruisseau en y mettant des teinte plus ou moins foncé de rouge, il semblait déjà absorbé par ce qu’il faisait. Devenait-il comme un vampire ? La question était grande et possible, sa gorge semblait se desséché par le côté tortueux et démoniaque de ce ruisseau. Il avait l’impression qu’il avait finalement besoin de voir du vrai sang pour vérifier que la vie était là. Mais il n’allait pas tuer, ce n’était pas son genre que d’être méchant avec autrui. Non il n’agresserait personne, il se disait juste que la couleur ne correspondait peut-être pas entièrement. Quelque chose manquait, et peut-être que c’était en cette couleur et cette teinte manquante qu’il perdait l’aspect principale, celui qui pouvait tous nous adoucir. En effet, ne voir que le mal en ce rouge serait injuste alors que tous les matins il est visible comme ornant ainsi le soleil qui arrive enfin à se lever. C’est pour cette raison qu’il a un peu de mal, il ne sait pas comment adoucir, et le froncé n’est pas forcément le signe d’un malheur proche, non loin de là. Lorsqu’on fonce, les ténèbres semblent être plus proche, peut-être est-ce pour cette raison qu’on évite de le faire. Alors que personne ne pouvait s’y attendre, en même temps mis à part des élèves qui ne lui prêtent aucun intérêt il se fit une petite entaille comme pour vérifier le rouge de ce sang. Il l’a fit si minime qu’elle cicatriserait très rapidement. Il regarda alors et son regard fut comme absorbé par ce semblant de mort… Il ne disant rien mais à ce moment il comprit le sens même des passions, dangereux plaisirs qu’il ne faut pas écouter !
Revenir en haut Aller en bas
Aoi Natsuki
~ CLASSE C - 1
Aoi Natsuki


Messages : 300
Date d'inscription : 22/03/2008
Age : 32
Localisation : Tokyo

~> Vous, Tokyoïte <~
Âge : 18 ans
Occupations: Photographie, Danse, Langues Etrangères
Relations:

Immortalisons sur la toile, ce qu’on appelle la vie [ P.V ] Empty
MessageSujet: Re: Immortalisons sur la toile, ce qu’on appelle la vie [ P.V ]   Immortalisons sur la toile, ce qu’on appelle la vie [ P.V ] EmptyMar 25 Mar - 20:38

      Il y a toujours un jour ou l’autre quelque chose qui vous captive, qui vous prend au ventre pour ne plus vous lâcher, une sorte de nouvelle passion, vous sentez votre âme s’enflammait, votre corps parcourut de frisson puis vous ne pouvez vous empêcher d’y prendre goût et de mettre en pratique l’art qui coule dans vos veines. Cette agréable sensation de chaleur et de bien-être, tout le monde la connaît un jour, chez certains elle arrive plutôt vite chez d’autres il faut plus de temps et certains se rendent compte de cette chose spéciale quand ils sont déjà âgés. Mais le plus important c’est de la ressentir un jour, cette sensation qui vous enivre à vous faire tourner la tête et qui vous emmène dans un autre monde. Seules les personnes ayant déjà connus cela peuvent comprendre, les autres quand à eux vous regardent comme si vous sortiez tout droit d’un film d’alien ou comme si vous veniez de prendre des substances illicites qui vous font planer loin d’ici. Peut-être qui sait…Natsuki avait déjà goûté à cette sensation, sa drogue à elle résidait en la photographie. Et dieu seul sait à quel point elle l’avait aidé. Mais pour mieux le comprendre il faut faire un petit retour en arrière…

      Le soleil ne s’était pas encore levé, mais la jeune Taïwanaise déambulait déjà dans les rues de Tokyo, ce nouveau côté de Tokyo qu’elle ne connaissait pas. Elle venait de quitter son chez elle, elle venait d’abandonner les deux personnes qui comptaient le plus à ses yeux, elle s’était enfuie de cet univers dans lequel elle s’était sentie si bien pendant tant d’années mais qui à présent était souillé par des bêtises…Pourquoi les gens devaient-ils grandir ? Pourquoi changeaient-ils ? Natsuki ne comprenait plus rien, tant d’années d’amitié pour aboutir à ce résultat là…Elle n’y croyait pas, elle n’arrivait pas à trouver une raison à tout cela, pourquoi, pourquoi…Cette incompréhension qui tiraillait le cœur de la jeune femme assombrissait son esprit, elle n’arrivait pas à dormir dans sa nouvelle maison alors à quoi bon y restait ? Elle marchait à présent sur ce trottoir vide, solitaire, et complètement perdue. Elle ne savait pas où aller, elle n’avait aucun but, juste marcher encore et encore pour oublier, oublier la douleur qu’elle ressentait comme si quelqu’un était en train de la tuer à l’intérieur petit à petit…Si à ce moment-là le soleil ne s’était pas levé, si il n’avait pas fait sa magnifique apparition, elle aurait sans doute mal finie et passée sa vie à errer comme ça dans les rues de la capitale n’ayant aucun but, aucune envie d’entrevoir un futur. Mais il était venu, fier et majestueux s’élevant dans le ciel dans une teinte rouge orangée. A ce moment-là tout changea, les yeux de Natsuki furent ébloui par cette couleur mêlant chaleur et assurance, ce rouge resta longtemps imprégner dans son regard, jamais elle ne pourra oublier ce somptueux spectacle. Ce jour-là, Natsu ressentit pour la première fois une sensation nouvelle, celle qui vous prend et qui ne vous lâche plus, ce jour-là, grâce à ce levé de soleil, elle venait de prendre conscience d’une chose : les couleurs faisaient partit de notre monde, les couleurs donnaient différents goûts à la vie la grisant ou l’illuminant, les couleurs étaient une chose importante relevant la douceur ou la fadeur d’un objet, d’une personne. Natsuki s’était alors promis d' immortaliser ces moments magiques par n’importe quel moyen, et pour elle cette pensée devint une évidence. Ce jour-là, elle eut son premier appareil photo entre les mains. Et la première photo qu’elle prit fut une photo rappelant cette chaleur, rouge couleur de cette tiédeur qui réchauffe les cœurs allant même jusqu’à éveiller des passions inconnus, la photo, sa première photo, un soleil, plus resplendissant que jamais qui resta à jamais graver dans sa mémoire mais surtout dans son cœur lui redonnant vie. Ce jour-là, elle venait de trouver un but à sa vie, une autre raison de continuer à avancer et de ne pas se laisser dépérir, car elle fut sûre d’une chose, tant que les couleurs peindraient sa vie, rien ne serait finit, et un jour c’était sûr, elle reverrait ceux qui pendant tant d’années avaient coloré son existence…

      La jeune femme ouvrit difficilement les yeux, ronchonnant, elle finit par sortir la tête de sous les couvertes et émergea enfin du lit les cheveux en bataille et l’air endormi. Natsuki n’était pas vraiment motivée pour aller en cours aujourd’hui, elle ne connaissait presque personne et n’avait pas envie c’est tout. De toute façon qui en avait vraiment envie ? Les gens passionnaient par le lycée et sautant presque du lit pour y aller en courant étaient vraiment rares, Natsu, elle, n’en faisait pas partie. Bien que les études ne lui avaient jamais posé problème, il y avait toujours une chose pour laquelle une personne était extrêmement fainéante, et bien elle c’était pour se bouger de son petit cocon. Prenant une bonne tasse de café corsé pour bien se réveiller, la belle Taïwanaise se dirigea vers ce qu’elle appelait son antre, son jardin secret, son labo de photo, la chambre noire où elle pouvait travailler tranquillement sans être déranger comme au lycée. Natsuki était indépendante et aimait travailler au calme, voilà pourquoi il était rare de la voir dans le labo du lycée, non elle préférait rentrer chez elle où tout son matériel l’attendait. Si au début elle ne connaissait rien à la photo, à présent elle n’avait plus aucun problème et était assez bien calée sur le sujet. Chaque fois qu’elle touchait à un appareil, ses doigts devenaient magique et ses yeux encore plus perçants qu’à l’origine. Un fin sourire planant sur ses lèvres, la jeune fille pénétra dans la pièce défendue et regarda les photos qu’elle avait laissé sécher cette nuit. Son sourire s’élargit alors, tout s’était bien déroulé et les photos étaient très belles. Satisfaite de son travail, elle ressortit de la chambre noire et alla se préparer, il fallait bien qu’elle se bouge un peu où elle allait finir par être en retard en cours…
      Une fois prête, Natsuki revint une nouvelle voir dans son labo photo pour prendre un petit appareil et quelques pellicules. Son sac préparé, elle prit toutes les affaires dont elle avait besoin puis sortit de chez elle et commença à déambuler dans les rues en direction du lycée Ryuuzan.

      Tout en marchant, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de lever les yeux vers le ciel, elle ne faisait plus vraiment attention à ce qui l’entourait, seul ce bleu captivant l’intéressait. Natsuki ne pouvait alors s’empêcher de repenser à ce jour-là qui avait marqué un nouveau tournant dans sa vie, si elle n’était pas sortie pour se changer les idées, peut-être qu’aujourd’hui elle ne tiendrait pas cette appareil photo entre ses mains, peut-être qu’elle serait totalement anéantie et enfermée dans un coin de chez elle sans plus bouger, n’ayant goût à rien. Mais cette nouvelle passion, ressentir cette sensation avait fait renaître la sensation de goût chez la jeune fille, ses yeux s’étaient à nouveau mis à pétiller comme autrefois même si au fond d’elle, une blessure avait toujours du mal à se refermer…Natsuki arriva vite devant le lycée, mais au lieu de se diriger vers les classes, ses pas la guidèrent tout droit vers le parc. Quand elle s’en rendit compte, ses yeux se baissèrent à hauteur normale arrêtant de fixer le ciel bleu dégagé et elle fut surprise de voir où elle se trouvait. Plantée en plein milieu d’un chemin, elle resta un moment interdite comme si elle venait de se réveiller d’un rêve, et quel doux rêve. Un frisson parcourut alors le corps de Natsu, tanpis pour les cours elle avait quelque chose de bien plus important à faire, immortaliser un moment intense, c’était ce qu’elle s’était promis et en ce moment même elle se sentait bien, un sentiment de joie s’engouffrait dans tout son corps. La belle chercha alors un endroit dégagé des arbres pour pouvoir enfin regarder à nouveau le ciel bleu azur. Ses yeux clairs se mélangeaient parfaitement avec le bleu du ciel les faisant encore plus pétiller, si on avait demandé à Natsu de décrire ce qu’elle ressentait à ce moment-là, elle n’aurait sans doute pas su répondre, non la seule chose qu’elle pouvait faire d’elle-même c’était de prendre en photo ce ciel bleu et étincelant qui la rassurait et imprégnait à son corps une sensation de bien-être. Et c’est ce qu’elle fit, Natsuki attrapa son appareil et l’enclencha, elle le porta à ses yeux afin de prendre une photo magnifique, ce soir-là elle pourra la voir, ce soir-là elle pourra à nouveau sentir ce sentiment de joie qui la fera à nouveau sourire comme elle était en train de faire maintenant. Le bleu avait toujours été une couleur qu’elle affectionnait énormément, dans des temps comme celui-ci, ses yeux étaient naturellement bleus, parfois ils viraient au bleu-vert mais quand elle regardait un ciel comme celui-ci ils devenaient totalement bleu, cette couleur pourtant considérer comme une couleur froide engendrait des sentiments de douceur en elle, il la réchauffait et la faisait se sentir sereine. Natsuki esquissa un sourire pensant que si quelqu’un entendait ce qu’elle pensait, il la prendrait sans doute pour une folle, mais c’est cette perspective là qui plaisait à la belle demoiselle. Naturellement elle-même, Natsu n’a jamais été une fille comme les autres, non pas qu’elle se démarquait de façon extravagante comme certaines filles qui trouvent toujours quelque chose pour se faire remarquer, non chez Natsu c’était naturel, elle ne le faisait pas exprès c’était sa façon d’être et elle se sentait bien ainsi. Sentir et ressentir, des verbes qui semblaient si anodins pour beaucoup de gens mais qui prenaient une ampleur bien plus importante chez Natsuki. Alors que les gens passaient leur chemin et ne faisait pas attention à ce qui les entourait comme ce ciel d’un bleu magnifique, Natsu, elle, était plutôt du genre à s’arrêter un moment, mettre en pause le cours de sa vie pour pouvoir profiter pleinement du moment et apprendre. Car même sans s’en rendre compte on n’apprenait beaucoup rien qu’en regardant un ciel bleu. Ce bleu qui l’avait tant bercé pendant son enfance et lui rappelait tant de souvenirs, c’est ce bleu là qu’elle voulait défendre et ne jamais oublier…

      Laissant échapper un petit soupir de bien-être, la jeune Taïwanaise sortit de ses pensées, il fallait tout de même qu’elle reprenne contact avec la terre avant de laisser son esprit trop s’envoler à mille lieues d’ici. Elle laissa son appareil venir se reposer contre sa poitrine puis baissa les yeux tout en souriant. Natsuki tourna les talons pour repartir en direction du lycée lorsque ses yeux se posèrent sur un jeune homme assis sur un banc, une toile sur les genoux. Le regard bleu azur de Natsu se posa d’abord sur cette toile, où un trait d’un rouge assez foncé était dessiné, mais il dévia vite sur la main du jeune homme et remonta doucement jusqu’à s’arrêter sur une entaille au poignet. Les yeux de Natsuki s’arrondirent alors, qu’était-il en train de faire ? Elle hésita un moment puis finit par se décider et s’avança doucement vers le jeune homme qu’elle ne connaissait pas. Natsu entrouvrit les lèvres comme pour parler mais les referma aussitôt avant de reposer un regard sur la toile puis sur le poignet. Elle finit par rouvrit la bouche pour enfin parler.


      « Ano…Ca va ? »
Revenir en haut Aller en bas
 
Immortalisons sur la toile, ce qu’on appelle la vie [ P.V ]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Tokyo High School :: ~> Hors jeu :: Say Goodbye-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser