Accuellie ? [ PV ]

«Allez , Lève-toi ! »

C'était les premières paroles qui sortient Alyshia du lit , une autre fois. Alyshia ouvra les yeux et constata que cette fois , c'était son père qui se trouvait devant elle. Elle s'assisa et elle le regarda avec un air questionné. Celui-ci lui montra lheure , question de lui indiquer qu'elle devait se préparer sinon elle allait arrivé en retard.

Elle se leva de son lit et elle le fit proprement avant d'aller faire sa toilette. Un coup le tout terminé , elle alla préparer son sac en même temps de manger des toast. Lorsqu'elle fut prête , elle embarqua dans la voiture avec son père et elle se rendit à l'internat.

Tout le long du chemin , Alyshia regardait par la fenêtre , étant inquiète puisqu'elle allait entrée dans un tout nouvel univers. Elle était craintive de mal s'adapter , d'être mal accueillit et que déjà personne ne l'aimait.

Elle se disa par contre qu'elle allait faire de son mieux pour être bien vu et ne pas se partir une mauvaise réputation. Et voilà que la voiture était déjà arrivée à destination.

Le premier pied posé sur le sol , Alyshia sortie de la voiture de son père. Elle regarda devant elle la grande batisse qui se tenait , droite et imposante devant ses yeux. Elle n'osa pas faire de pas pour l'instants , se tournant pour voir son père mais elle fut contrainte de constater que celui-ci était déjà partit , sans lui dire "Sayonnara" ou encore même sans lui dire qu'il partait. Un peu déçu , Alyshia s'avança tranquillement pas vite vers la grande porte d'entrée , celle qui rendait l'immeuble majestueux et qui lui donnait de la puissance.

Après quelques instants d'hésitation , Alyshia franchissa la porte et entra dans l'internat , époustouflée. Elle regarda tout autour avec de grand yeux, n'ayant jamais rien vu de tel. Dire qu'avant , ses deux parent l'envoyaient dans un endroit banal et qu'aujourd'Hui , c'était une merveille.

Elle avança tranquillement pas vite jusqu'au moment où quelqu'un passent en coup de vent , lui faissant échapper son sac sur le sol et les trucs qu'elle avait dans les mains. Elle se tourna pour voir c'était qui mais la personne était partie. Alyshia se pencha pour ramasser ses affaires le plus vite possbile , avant que tout se fasse envoyer dans tout les petits coins en dû a coup des pieds des autres personnes présentes.

Encore une nuit blanche … Décidément, c’était la saison, cela faisait déjà trois jours qu’elle ne dormait pas, fixant son plafond, auquel elle avait fixé des étoiles fluorescentes quand elle avait à peu près 13 ans. Une main sur le ventre, une autre derrière la tête, ses beaux yeux grand ouverts, elle tenait serré son mogwaï en peluche, la seule qu’elle avait gardée, elle avait donné toutes ses autres peluches et ses jouets d’enfants à ses petites cousines quand elle était née. Elle avait passé la nuit à regarder le cadran lumineux de son réveil … 1h du matin, 3h … 4h … et enfin 6h … elle se leva enfin et se dirigea tant bien que mal vers la salle de bain accolée à sa chambre dans le but de prendre une douche. Elle retira sa nuisette de coton, entra dans la cabine et tourna le bouton vers la position chaude. Elle laissa le filet d’eau courir sur son corps frêle un moment avant de se savonner, se rincer et sortir enfin. Enroulée dans une serviette blanche, elle revint vers sa chambre, se dirigea vers la penderie et en sortit son uniforme qu’elle enfila. Elle se regarda dans sa psyché, réajustant sa tenue et démêla ses longs cheveux noirs qui couraient jusqu’à sa taille. Les professeurs du prestigieux lycée veillaient à ce que la tenue des élèves reste impeccable et qu’ils ne soient pas trop extravagants. Elle décida alors de les coiffer de façons très classiques : deux longues nattes noires feraient parfaitement l’affaire.
Ensuite elle descendit l’étage, se dirigea vers la cuisine. Elle avait fait le repassage et le linge la veille au soir, ça voulait donc dire qu’elle n’avait pas de corvée à faire le matin. La vie à la maison était décidément plus tranquille depuis le départ de son frère, cela lui donnait presque envie de souhaiter qu’il ne revienne jamais, sans culpabilité. Elle sortit la boîte de céréales, en remplit un bol, y ajouta du lait et alla se poser devant la télévision pour regarder les dessins animés du matin, réglant le volume sur la position « minimum » pour ne pas réveiller son père qui dormait à côté. Une fois son petit déjeuner fini, et que Card Captor Sakura eut attrapé toutes les Clow cards, elle déposa son bol dans l’évier, attrapa son sac de cours, chaussa ses souliers et sortit de la maison, se dirigeant vers la gare qui assurait la liaison entre la baie de Tokyo où elle vivait et le centre-ville de Tokyo où se trouvait le lycée.

D’humeur neutre, mais avec grande fatigue elle déambula dans les rues du quartier, dans le train, jusqu’au centre-ville où elle avança sans vraiment prêter attention de là où la menaient ses pas. Elle remonta son blouson et se serra dans ses petits bras, le vent était encore assez froid pour la saison et lui mordait le visage, malgré sa grosse écharpe. Et c’était là que les jeunes filles en général maudissaient leur uniforme de lycéenne, toujours composé d’un chemisier au col marin et d’une jupe courte plissée. Enfin, les traits rassurants des bâtiments du lycée se dessinaient quelques rues plus loin et ce fut avec un grand soulagement qu’elle y pénétra, à l’abris du vent. Elle passa à son casier pour aller y mettre son appareil photo, ses cours de l’après midi et son blouson. Elle claqua la porte pour la refermer et commença à déambuler en baillant dans les couloirs. Pour une fois elle était arrivée en avance et il y avait pas mal de monde, alors que d’habitude, à l’heure où elle arrivait elle était souvent toute seule … Elle n’avait pas du y prêter attention, mais son train avait eu quelques minutes de retard. Elle salua les têtes qu’elle connaissait, fît une accolade chaleureuse à son amie Elena, se poussa au passage du fauteuil d’Akari, s’extasiant devant la nouvelle tenue de Naoki et saluant son Oyabun d’un signe de tête respectueux. Et puis en tournant un couloir, elle remarqua qu’une jeune fille était par terre, luttant contre des dizaines de paires de jambes pour ramasser ses cours tombés par terre en essayant d’éviter de se faire écraser les doigts.

Inori, toujours aussi aimable et serviable se dirigea vers la jeune femme en lutte et se pencha vers elle.

- Hai ! Est-ce que je peux t’aider ? Lui demanda t-elle en souriant, plus pour la forme, car déjà ses doigts courraient sur le sol et ramassaient les feuillets en pagaille.